LA POLICE SCIENTIFIQUE
En à peine 20 ans, la police scientifique a connu des progrès considérables, ce qu’on lisait dans les livres de science fiction, ou qu’on voyait à la télévision est devenu réalité. On peut maintenant chercher à identifier les auteurs d’infractions par des moyens techniques et scientifiques. C’est souvent en criminologie que la police scientifique intervient.
Ils doivent trouver des indices, ou des preuves sur la scène de crime.
Comme le disait Edmond Locard : « Nul individu ne peut séjourner en un point sans y laisser la marque de son passage, surtout lorsqu’il a dû agir avec l’intensité que suppose l’action criminelle »
Donc la police scientifique cherche des marques du passage d’un criminel car le coupable en laisse forcément. Cela peut être des empreintes digitales ou génétiques (par exemple des gouttes de sang), des traces d’ADN (cheveux, poils, sperme). Ou encore des douilles, de la poudre. Plusieurs secteurs sont utilisés par la police scientifique : biologie, balistique, informatique, toxicologie…. Et grâce à tous ces indices, la police scientifique peut essayer de reconstituer la scène de crime, et remonter jusqu’au criminel.
On peut donc se demander :
«Grâce aux progrès de la police scientifique, quels sont les procédés qui de nos jours
aident à résoudre une enquête criminelle? »